Devoirs des maris et femmes
1Pi 3.1-7


Retournons dans le jardin lorsque Dieu uni l'homme et la femme:

Dieu créa l'homme:
“L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant.” (Ge 2:7)

Le plaça dans le jardin:
“L’Eternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Eden pour le cultiver et pour le garder.” (Ge 2:15)

Le commandement à propos de l'arbre de la connaissance du bien et du mal:
“L’Eternel Dieu donna cet ordre à l’homme: Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.” (Ge 2:16-17)

Une aide pour l'homme:
 “L’Eternel Dieu dit: Il n’est pas bon que l’homme soit seul; je lui ferai une aide semblable à lui.” (Ge 2:18)

Dieu créa la femme et l'unit à l'homme:
 “Alors l’Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit: Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.” (Ge 2:21-24)
 
Par la réponse de la femme on voit bien qu'Adam l'avait enseigné à propos de l'arbre:
“La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea.” (Ge 3:6)

 “Et l’Eternel Dieu le chassa du jardin d’Eden, pour qu’il cultivât la terre, d’où il avait été pris.” (Ge 3:23)

On a ici une belle figure de Christ avec son épouse: l'Église

Adam a mangé du fruit afin d'être entraîné dans la mort avec sa femme comme Christ: 

“Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu.” (2Co 5:21)

Maintenant revenons à notre texte, on a vu qu'il faut être soumis aux autorités, honorer tout le monde, craindre Dieu, il est demandé aux serviteurs d'être soumis à leurs maîtres et maintenant aux femmes d'être soumises à leur maris.

Dieu a établi un ordre:
“Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ.” (1Co 11:3)

Dieu, lui n'as pas de compte à rendre à personne.

Jésus le Fils de Dieu était soumis au Père:
“Alors je dis: Voici, je viens Avec le rouleau du livre écrit pour moi. 40-9 Je veux faire ta volonté, mon Dieu! Et ta loi est au fond de mon coeur.” (Ps 40:7-8)

Dans le jardin:
“Il s’éloigna une seconde fois, et pria ainsi: Mon Père, s’il n’est pas possible que cette coupe s’éloigne sans que je la boive, que ta volonté soit faite!” (Mt 26:42)

“Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit: Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit.” (Jn 19:30)

La soumission de rend pas l'autre inférieur:

Le fils est un avec le Père:
“Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres.” (Jn 14:11)

Le vêtement de la femme:

“Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le coeur, la pureté incorruptible d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu.” (1Pi 3:3-4)

Paul écrit dans le même sens à ce propos:
“Je veux aussi que les femmes, vêtues d’une manière décente, avec pudeur et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d’or, ni de perles, ni d’habits somptueux, mais qu’elles se parent de bonnes oeuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu.” (1Ti 2:9-10)

L'important c'est la parure intérieure, car Dieu regarde à l'intérieur, comme il est écrit:
“Et l’Eternel dit à Samuel: Ne prends point garde à son apparence et à la hauteur de sa taille, car je l’ai rejeté. L’Eternel ne considère pas ce que l’homme considère; l’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Eternel regarde au coeur.” (1Sa 16:7)

Maintenant au tour du mari:
“Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes, comme avec un sexe plus faible; (on devrait plutôt lire: comme avec un vase plus fragile) honorez-les, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu’il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.”
(1Pi 3:7)

Voir Éph 5.22-33:
“Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur; car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l’Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l’être à leurs maris en toutes choses.
Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l’Eglise, et s’est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l’avoir purifiée par le baptême d’eau, afin de faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même. Car jamais personne n’a haï sa propre chair; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l’Eglise, parce que nous sommes membres de son corps.
C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand; je dis cela par rapport à Christ et à l’Eglise. Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.” (Eph 5:22-33)


“Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes. Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres. Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; 2-7 et ayant paru comme un simple homme, 2-8 il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.” (Php 2:3-8)

Conclusion:
“Toutefois, dans le Seigneur, la femme n’est point sans l’homme, ni l’homme sans la femme. Car, de même que la femme a été tirée de l’homme, de même l’homme existe par la femme, et tout vient de Dieu.” (1Co 11:11-12)

Salut:
“Car je suis jaloux de vous d’une jalousie de Dieu, parce que je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Christ comme une vierge pure.” (2Co 11:2)


yves st-pierre Document fait avec KompoZer