Marchons d'un
même pas!
#1Pi 3.8
Enfin ou finallement:
Après nous avoir exhorter face à nos
responsabilités envers les autorités, les devoirs des
serviteurs et des maris et des femmes, Pierre nous encourage à
l'unité.
1) Enfin, soyez tous animés des
mêmes pensées et des mêmes sentiments:
“Que le Dieu de la persévérance et de la
consolation vous donne d’avoir les mêmes sentiments les uns
envers les autres selon Jésus-Christ, afin que tous ensemble,
d’une seule bouche, vous glorifiiez le Dieu et Père de
notre Seigneur Jésus-Christ. Accueillez-vous donc les uns les
autres, comme Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu.”
(Ro 15:5-7)
“Au reste, frères, soyez dans la joie, perfectionnez-vous,
consolez-vous, ayez un même sentiment, vivez en paix; et le Dieu
d’amour et de paix sera avec vous.” (2Co 13:11)
“Je vous exhorte donc, moi, le prisonnier dans le Seigneur,
à marcher d’une manière digne de la vocation qui
vous a été adressée, en toute humilité et
douceur, avec patience, vous supportant les uns les autres avec
charité, vous efforçant de conserver l’unité
de l’esprit par le lien de la paix.” (Eph 4:1-3)
2) Pleins d’amour fraternel:
“Ayant purifié vos âmes en obéissant à
la vérité pour avoir un amour fraternel sincère,
aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre coeur,”
(1Pi 1:22)
“Petits enfants, n’aimons pas en paroles et avec la langue,
mais en actions et avec vérité.” (1Jn 3:18)
“L’amour ne fait point de mal au prochain: l’amour
est donc l’accomplissement de la loi.” (Ro 13:10)
3) De compassion:
“C’est pourquoi, le royaume des cieux est semblable
à un roi qui voulut faire rendre compte à ses serviteurs.
Quand il se mit à compter, on lui en amena un qui devait dix
mille talents. Comme il n’avait pas de quoi payer, son
maître ordonna qu’il fût vendu, lui, sa femme, ses
enfants, et tout ce qu’il avait, et que la dette fût
acquittée. Le serviteur, se jetant à terre, se prosterna
devant lui, et dit: Seigneur, aie patience envers moi, et je te paierai
tout. Emu de compassion, le maître de ce serviteur le laissa
aller, et lui remit la dette. Après qu’il fut sorti, ce
serviteur rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers.
Il le saisit et l’étranglait, en disant: Paie ce que tu me
dois. Son compagnon, se jetant à terre, le suppliait, disant:
Aie patience envers moi, et je te paierai. Mais l’autre ne voulut
pas, et il alla le jeter en prison, jusqu’à ce qu’il
eût payé ce qu’il devait. Ses compagnons, ayant vu
ce qui était arrivé, furent profondément
attristés, et ils allèrent raconter à leur
maître tout ce qui s’était passé. Alors le
maître fit appeler ce serviteur, et lui dit: Méchant
serviteur, je t’avais remis en entier ta dette, parce que tu
m’en avais supplié;
ne
devais-tu pas aussi avoir pitié de ton compagnon, comme
j’ai eu pitié de toi?” (Mt 18:23-33)
4) D’humilité:
La Pharisien et le publicain (lu 18.9-13)
“Il dit encore cette parabole, en vue de certaines personnes se
persuadant qu’elles étaient justes, et ne faisant aucun
cas des autres: Deux hommes montèrent au temple pour prier;
l’un était pharisien, et l’autre publicain. Le
pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends
grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui
sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce
publicain; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme
de tous mes revenus.
Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas
lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O
Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.”