La joie de Paul (2)
#1Th 1.1-3
Nous rapellant sans cesse:
L’oeuvre de votre foi, (la foi sans les oeuvres est morte)
Le travail de votre charité, (aimer en actions et non seulement
en parole)
Et la fermeté de votre espérance en notre Seigneur
Jésus-Christ,(durant les épreuves) devant Dieu notre
Père.
Le temps approchait où devait s’accomplir la promesse que
Dieu avait faite à Abraham, et le peuple s’accrut et se
multiplia en Egypte, jusqu’à ce que parut un autre roi,
qui n’avait pas connu Joseph. Ce roi, usant d’artifice
contre notre race, maltraita nos pères, au point de leur faire
exposer leurs enfants, pour qu’ils ne vécussent pas.
A cette époque, naquit Moïse, qui était beau aux
yeux de Dieu. Il fut nourri trois mois dans la maison de son
père; et, quand il eut été exposé, la fille
de Pharaon le recueillit, et l’éleva comme son fils.
Moïse fut instruit dans toute la sagesse des Egyptiens, et il
était puissant en paroles et en oeuvres.
Il avait quarante ans, lorsqu’il lui vint dans le coeur de
visiter ses frères, les fils d’Israël. Il en vit un
qu’on outrageait, et, prenant sa défense, il vengea celui
qui était maltraité, et frappa l’Egyptien. Il
pensait que ses frères comprendraient que Dieu leur accordait la
délivrance par sa main; mais ils ne comprirent pas.
Le jour suivant, il parut au milieu d’eux comme ils se battaient,
et il les exhorta à la paix: Hommes, dit-il, vous êtes
frères; pourquoi vous maltraitez-vous l’un l’autre?
Mais celui qui maltraitait son prochain le repoussa, en disant: Qui
t’a établi chef et juge sur nous? Veux-tu me tuer, comme
tu as tué hier l’Egyptien? A cette parole, Moïse prit
la fuite, et il alla séjourner dans le pays de Madian, où
il engendra deux fils.
Quarante ans plus tard, un ange lui apparut, au désert de la
montagne de Sinaï, dans la flamme d’un buisson en feu.
Moïse, voyant cela, fut étonné de cette apparition;
et, comme il s’approchait pour examiner, la voix du Seigneur se
fit entendre: Je suis le Dieu de tes pères, le Dieu
d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Et Moïse, tout
tremblant, n’osait regarder. Le Seigneur lui dit: Ote tes
souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre
sainte. J’ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Egypte,
j’ai entendu ses gémissements, et je suis descendu pour le
délivrer. Maintenant, va, je t’enverrai en Egypte.
Ce Moïse, qu’ils avaient renié, en disant: Qui
t’a établi chef et juge? c’est lui que Dieu envoya
comme chef et comme libérateur avec l’aide de l’ange
qui lui était apparu dans le buisson.» (Ac 7:17-35)
yves st-pierre