David et ses sentiments

Lorsque  qu'Achimaats et Cushi apprirent à David la mort d'Absalom :
 
(2Sa 18:33)
Alors le roi, saisi d’émotion, monta dans la chambre au-dessus de la porte et pleura. Il disait en marchant: Mon fils Absalom! mon fils, mon fils Absalom! Que ne suis-je mort à ta place! Absalom, mon fils, mon fils!”

(2Sa 19.1-4)
“On vint dire à Joab: Voici, le roi pleure et se lamente à cause d’Absalom. Et la victoire, ce jour-là, fut changée en deuil pour tout le peuple, car en ce jour le peuple entendait dire: Le roi est affligé à cause de son fils. Ce même jour, le peuple rentra dans la ville à la dérobée, comme l’auraient fait des gens honteux d’avoir pris la fuite dans le combat. Le roi s’était couvert le visage, et il criait à haute voix: Mon fils Absalom! Absalom, mon fils, mon fils!

L'intervention de Joab :

(2Sa 19.5-7)
Joab entra dans la chambre où était le roi, et dit: Tu couvres aujourd’hui de confusion la face de tous tes serviteurs, qui ont aujourd’hui sauvé ta vie, celle de tes fils et de tes filles, celle de tes femmes et de tes concubines. Tu aimes ceux qui te haïssent et tu hais ceux qui t’aiment, car tu montres aujourd’hui qu’il n’y a pour toi ni chefs ni serviteurs; et je vois maintenant que, si Absalom vivait et que nous fussions tous morts en ce jour, cela serait agréable à tes yeux. Lève-toi donc, sors, et parle au coeur de tes serviteurs! Car je jure par l’Eternel que, si tu ne sors pas, il ne restera pas un homme avec toi cette nuit; et ce sera pour toi pire que tous les malheurs qui te sont arrivés depuis ta jeunesse jusqu’à présent.

(2Sa 19.8)
Alors le roi se leva, et il s’assit à la porte. On fit dire à tout le peuple: Voici, le roi est assis à la porte. Et tout le peuple vint devant le roi.

Cependant Israël (Ceux qui étaient avec Absalom) s’était enfui, chacun dans sa tente.

Les sentiments de Samuel :

“Samuel dit à Saül: C’est moi que l’Eternel a envoyé pour t’oindre roi sur son peuple, sur Israël: écoute donc ce que dit l’Eternel. Ainsi parle l’Eternel des armées: Je me souviens de ce qu’Amalek fit à Israël, lorsqu’il lui ferma le chemin à sa sortie d’Egypte. Va maintenant, frappe Amalek, et dévouez par interdit tout ce qui lui appartient; tu ne l’épargneras point, et tu feras mourir hommes et femmes, enfants et nourrissons, boeufs et brebis, chameaux et ânes.” (1Sa 15:1-3)

 “Saül battit Amalek depuis Havila jusqu’à Schur, qui est en face de l’Egypte. Il prit vivant Agag, roi d’Amalek, et il dévoua par interdit tout le peuple en le passant au fil de l’épée. Mais Saül et le peuple épargnèrent Agag, et les meilleures brebis, les meilleurs boeufs, les meilleures bêtes de la seconde portée, les agneaux gras, et tout ce qu’il y avait de bon; ils ne voulurent pas le dévouer par interdit, et ils dévouèrent seulement tout ce qui était méprisable et chétif. L’Eternel adressa la parole à Samuel, et lui dit:” (1Sa 15:7-10)

“Je me repens d’avoir établi Saül pour roi, car il se détourne de moi et il n’observe point mes paroles. Samuel fut irrité, et il cria à l’Eternel toute la nuit.” (1Sa 15:11)

 “Samuel se rendit auprès de Saül, et Saül lui dit: Sois béni de l’Eternel! J’ai observé la parole de l’Eternel. Samuel dit: Qu’est-ce donc que ce bêlement de brebis qui parvient à mes oreilles, et ce mugissement de boeufs que j’entends? Saül répondit: Ils les ont amenés de chez les Amalécites, parce que le peuple a épargné les meilleures brebis et les meilleurs boeufs, afin de les sacrifier à l’Eternel, ton Dieu; et le reste, nous l’avons dévoué par interdit. Samuel dit à Saül: Arrête, et je te déclarerai ce que l’Eternel m’a dit cette nuit. Et Saül lui dit: Parle!” (1Sa 15:13-16)

 “Samuel dit à Saül: Je ne retournerai point avec toi; car tu as rejeté la parole de l’Eternel, et l’Eternel te rejette, afin que tu ne sois plus roi sur Israël.” (1Sa 15:26)

 “Samuel n’alla plus voir Saül jusqu’au jour de sa mort; car Samuel pleurait sur Saül, parce que l’Eternel se repentait d’avoir établi Saül roi d’Israël. L’Eternel dit à Samuel: Quand cesseras-tu de pleurer sur Saül? Je l’ai rejeté, afin qu’il ne règne plus sur Israël. Remplis ta corne d’huile, et va; je t’enverrai chez Isaï, Bethléhémite, car j’ai vu parmi ses fils celui que je désire pour roi.” (1Sa 15:35-16:1)

Nos sentiments ne doivent pas nous éloigner de notre place.

Jésus agit de la bonne manière face aux sentiments :
La mère et les frères de Jésus-Christ (Mr 3.31-35 et 20-21)
à la mort de Jean le Baptiste (Mt 14.12-14)

Salut :

(2Sa 18:33)
Alors le roi, saisi d’émotion, monta dans la chambre au-dessus de la porte et pleura. Il disait en marchant: Mon fils Absalom! mon fils, mon fils Absalom! Que ne suis-je mort à ta place! Absalom, mon fils, mon fils!”

Christ est mort à notre place
Il a quitté sa place afin que nous ayons une belle place.

yves st-pierre Document fait avec KompoZer