Laisser faire les autres

Quand je parle mes souffrances ne se sont pas calmées
Si je me tais elles ne sont pas diminuées
Maintenant je suis épuisé
En plus, de moqueurs je suis environné

D'un sac j'ai couvert ma peau ulcérée
Mon visage par les pleurs est altéré
Mon oeil par la douleur est presque fermé
Mais à mon Dieu je continue de crier


Car le juste  demeure ferme dans sa voie
Quand sa conscience ne l'attaque pas
Et ce malgré vos discours sournois
Dieu me fortifiera si je suis droit

Il y aura toujours fes gens pour critiquer
Mais ne nous laissons pas affecté
Que nos yeux restent ,sur Dieu ,fixé
Son opinion, seul, devrait compter

Chantal Viens