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Le soleilGigantesque boule de feu
Suspendue dans l’atmosphère
Créée par notre Dieu
Pour réchauffer la terre.
Oh ! Soleil radieux
Tu illumines mes jours
Tu éblouis mes yeux
De tes rayons d’amour !
Par la moindre fissure tu sais t’infiltrer
Et avec douceur mon visage tu viens caresser
Afin de m’arracher de mon sommeil
Lorsque toute la nature tu éveilles.
En te levant, le ciel tu viens colorer
De belles couleurs pastelles
Tu t’abreuves de la fraîche rosée
Et tu regardes voler l’hirondelle.
Les couleurs de la nature tu sais rehausser
Sur les vagues des flots tu te plais à danser
Tu fis dorer le blé des champs
Que tu assèches sournoisement.
Sur le tapis de neige
Tu déposes des diamants
Mais j’ai surpris ton manège
Puisqu’ils sont faux évidemment.
Pour t’humilier dans ton orgueil
Des nuages gris viennent te voiler
On t’épie du coin de l’œil
Car tu es allé te cacher.
Mais tu les as vite transpercés
Afin de mieux nous éclairer
Tu resplendis dans la voûte des cieux,
Mais tu n’égaleras jamais la gloire de notre Dieu
Suspendue dans l’atmosphère
Créée par notre Dieu
Pour réchauffer la terre.
Oh ! Soleil radieux
Tu illumines mes jours
Tu éblouis mes yeux
De tes rayons d’amour !
Par la moindre fissure tu sais t’infiltrer
Et avec douceur mon visage tu viens caresser
Afin de m’arracher de mon sommeil
Lorsque toute la nature tu éveilles.
En te levant, le ciel tu viens colorer
De belles couleurs pastelles
Tu t’abreuves de la fraîche rosée
Et tu regardes voler l’hirondelle.
Les couleurs de la nature tu sais rehausser
Sur les vagues des flots tu te plais à danser
Tu fis dorer le blé des champs
Que tu assèches sournoisement.
Sur le tapis de neige
Tu déposes des diamants
Mais j’ai surpris ton manège
Puisqu’ils sont faux évidemment.
Pour t’humilier dans ton orgueil
Des nuages gris viennent te voiler
On t’épie du coin de l’œil
Car tu es allé te cacher.
Mais tu les as vite transpercés
Afin de mieux nous éclairer
Tu resplendis dans la voûte des cieux,
Mais tu n’égaleras jamais la gloire de notre Dieu
Reine Gaulin, Janvier 2004